Présentations des conférenciers
1-
L’IMPACT FISCAL D’UN SYSTÈME SANS IMPÔT
Simon Davari
Associé en charge
SdM Comptables professionnels agréés
2-
FÉDÉRATION MODÈLE, ATTRACTIVITÉ ÉCONOMIQUE ET ENJEUX DIPLOMATIQUES
Docteur Mohamed Ourya
Chargé de cours, Université de Sherbrooke
Chercheur associé, Observatoire sur le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord
Chaire Raoul-Dandurand
3-
LES SERVICES D’EDC AUX ÉMIRATS
Ali Murtaza
Directeur régional | Moyen-Orient et Afrique du Nord, Est de la Méditerranée
et Caucase
Groupe sur le développement d’affaires internationales
Exportation et Développement Canada
4-
LA CULTURE DES AFFAIRES AUX ÉMIRATS
Awny Elafghany
Directeur général
Canadian management Consulting
5-
COMMERCER AUX ÉMIRATS
Daniel Roussinl
Avocatl
Roussin Larose Lessard
6-
TÉMOIGNAGE D’UNE ENTREPRISE QUÉBÉCOISE SUR LE DÉVELOPPEMENT DE SES AFFAIRES AUX ÉMIRATS
Maurice Piché
Président et chef des opérations
Sonitec-Vortisand
UNE OCCASION UNIQUE POUR…
- Comprendre le contexte d’affaires du marché des Émirats et son évolution;
- Recevoir les conseils d’experts;
- Mettre à jour vos connaissances des différentes perspectives sectorielles;
- Identifier les occasions d’affaires pour votre entreprise;
- Évaluer et améliorer votre stratégie d’implantation sur ce marché;
- Écouter les témoignages d’entrepreneurs québécois ayant réussi sur ce marché.
POURQUOI LES ÉMIRATS ARABES UNIS?
Après plus de 40 ans de relations diplomatiques, le Canada et les Émirats arabes unis (EAU) travaillent aujourd’hui de concert à améliorer la prospérité économique de leur société respective, résultat du processus du Plan d’action stratégique commun lancé en avril 2013.
La désignation des EAU comme marché prioritaire dans le Plan d’action sur les marchés mondiaux (PAMM) du Canada en novembre 2013 et l’annonce du lancement des négociations officielles en vue de conclure un accord sur la promotion et la protection des investissements étrangers (APIE) en juillet dernier témoignent, en outre, de l’intérêt grandissant du Canada et du Québec pour ce marché florissant.
Un intérêt pleinement fondé, considérant les nombreux avantages commerciaux qu’offre la fédération arabique aux exportateurs québécois, à commencer par le fort pouvoir d’achat de sa population et son libre accès aux marchés continentaux totalisant 1,5 milliard de consommateurs par l’intermédiaire du Conseil de coopération du Golfe (CCG).
Près de 150 entreprises québécoises exportent déjà activement aux Émirats arabes unis au moment où le gouvernement local investit massivement dans une vaste gamme de projets d’infrastructure d’envergure globale : routes, systèmes de production et de transport d’électricité, usines de dessalement, systèmes d’égout, logements publics, installations récréatives, hôpitaux et centres de services médicaux, écoles, centres d’athlétisme, raffineries et autres installations de transformation des hydrocarbures, aéroports et bâtiments publics.
Seulement en 2010, les projets de construction planifiés et en cours totalisaient plus de 800 G$ US. Les produits et services liés à la culture sont aussi en forte demande, puisqu’ils seront essentiels pour structurer l’animation de ces nouvelles villes.
Les EAU sont un marché clé pour les exportateurs du Québec, ces derniers ayant fait au cours des dernières années des percées importantes dans de nombreux secteurs tels que les énergies propres, l’infrastructure, l’immobilier, la construction, l’électricité et les technologies de l’information et des communications (Industrie Canada).
Deux émirats en particulier, Abu Dhabi et Dubaï, englobent près de 90 % du PIB et assurent respectivement, en complémentarité, la production d’hydrocarbures et le développement des services et de l’industrie. Abu Dhabi investit principalement dans les secteurs de l’industrie lourde, des hautes technologies et des énergies renouvelables, alors que Dubaï tente de se positionner comme une plaque tournante mondiale de commerce.
Aux exportateurs québécois, les Free Trade Zones (15 % des échanges commerciaux du pays) des EAU offrent l’exonération totale des droits de douane, le droit intégral de rapatrier les capitaux et les bénéfices, l’assistance au recrutement de la main-d’œuvre et l’absence d’impôt sur les sociétés pendant 15 ans, renouvelable pour 15 années supplémentaires, des procédures et règlements simplifiés, une sécurité accrue des personnes et des biens et une infrastructure ultramoderne.
Les Émirats arabes unis, c’est aussi :
- La 2e économie du Moyen-Orient;
- Une économie stable et un régime politique moderne;
- Un marché de 8 millions de consommateurs;
- En 2010, une valeur d’exportation pour le Québec de 206,7 M$ (18,2 % de la valeur totale des exportations canadiennes);
- Le 2e client du Québec au Moyen-Orient, derrière l’Arabie saoudite;
- Le 23e rang (sur 189 économies) pour sa facilité à y conduire des affaires (rapport Doing Business de la Banque mondiale, 2014);
- Un PIB estimé à plus de 400 G$;
- Un revenu par habitant parmi les plus élevés du monde;
- Un pays membre de l’OPEP, des Nations Unies, de l’Organisation mondiale du commerce, de la Ligue arabe et du Conseil de coopération du Golfe;
- 10 % des réserves mondiales avérées de pétrole brut;
- Des recettes touristiques croissantes;
- L’Exposition universelle de 2020.
QUI DEVRAIT PARTICIPER ?
- Les entreprises dans les secteurs suivants sont particulièrement ciblées :
- Environnement, énergies et technologies propres;
- Infrastructures, immobilier et construction;
- Technologies de l’information et des communications;
- Agroalimentaire;
- Défense et sécurité;
- Éducation;
- Électricité;
- Transport;
- Tourisme;
- Aérospatiale;
- Design et architecture;
- Machinerie et équipements;
- Pétrole et gaz;
- Sciences de la vie;
- Services financiers;
- Services professionnels;
- Mines, pierres et métaux précieux et de base.
Les Émirats arabes unis : une oasis sur laquelle il faut miser!